Psycho-jardinage

Maximilien du Faÿ – Téléphone : 06.95.19.12.18

Des psychanalystes parlent de biophilie (en 1984, Edward O. Wilson avance l’idée que les humains ont une tendance innée à se chercher des liens avec la nature et avec d’autres formes de vie. Il nomme cette idée « l’hypothèse de la biophilie », un besoin spontané d’autres formes de vie) , elle représente l’amour du vivant, l’attirance vers la nature qui nous lie à elle. Développée par Erich Fromm (il est encore un des fondateurs de l’International Forum for Psycho-Analysis, une Fédération Internationale de Sociétés Psychanalytiques, qui refusent le modèle centralisateur de l’Association psychanalytique internationale. La biophilie est donc l’amour de tout ce qui est vivant, et la philocalie, de tout ce qui est beau. C’est le contact avec la nature et les liens avec les plantes qui permettent d’expliquer le dialogue subtil et inconscient qui se joue entre les plantes et nous. ». Des neurosciences démontrent de plus en plus par des études, l’interaction positive entre l’état physiologique, psychique et la seule contemplation de la nature.

Il ajoute à la technique de l’analyse une pratique concernant la connaissance de soi dans le domaine de « l’être et l’avoir » (voir Dualisme en philosophie) qui s’exprime dans le mouvement de la période 1968 (hippie) dans la biophilie, en plus de la pratique de la thérapie. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Erich_Fromm).